Le Krak Kounty Hospital est l'organe de la médecine à Kraland. Il recueille en son sein les plus illustres médecins et chercheurs de cette patrie. Présentation d'un hôpital pas comme les autres.

Le Krak Kounty est fondé en 1991 par le Dr Boulawane Clafoutis. Il a pour premier objectif d'aider les veuves et les orphelins. Mais, devant l'afflux des demandes de soins, il ouvre ses portes en 1992 à toute la population Kralandaise. Petit à petit, il ouvre de nouveaux services. Devant l'immigration slavone, il ouvre un service de gynécologie, et des laboratoire de recherches contre les maladies vénériennes.

Parmi les innombrables opérations des médecins du Krak Kounty, certaines sont restées célèbres, comme l'agrandissement des pieds d'Etienne Maltuvar dans le service de chirurgie esthétique. Tout se passait bien, jusqu'à ce que le clown demande au médecin de lui tenir la main, pour l'aider a vaincre sa peur. Il aurait dû se douter de la très célèbres blague de la décharge électrique. Les pieds de Maltuvar faillirent ne jamais connaître leur 54, mais plutôt être découpés.

La rage de dents du Premier Elu se soigna également au Krak Kounty. Malheureusement, celui-ci, dans sa douleur, fit exécuter une bonne demi douzaine de médecins.

Situé dans le Quartier du Savoir, le Krak Kounty Hospital ouvre encore ses portes non loin du Belvédère. L'équipe a changé et Clafoutis est parti, mais l'ambiance de l'hôpital est toujours aussi joviale, entre un cancer du poumon et un toxicomane dans l'antichambre de la mort (pourquoi devrait-on en pleurer ?).



Portrait


La dernière équipe du Krak Kounty. Au centre, son directeur depuis le départ du Dr Clafoutis
  Histoire vécue

"C'était en 1994. J'étais en train de refermer le ventre d'un patient qu'on opérait du foie à cause d'un excès de Vodka, lorsque les portes de l'hôpital s'ouvrirent sur une bonne cinquantaine d'hommes se tenant fermement l'entrejambe. Jamais une aussi grosse affluence ne s'était présentée. Il a fallut une dizaine de médecin pour surmonter le problème, et certains malades n'ont pu être soignés, leur cas ne s'étant jamais présenté auparavant. C'est ainsi que le Dr Clafoutis a ouvert le centre de recherche."

(Kramille Melun, Le Mal Slavon, mémoires d'une infirmière du Krak Kounty Hospital)